mercredi 30 avril 2008

La Knesset adopte une loi raciste contre les députés arabes


La Knesset a adopté lors de sa dernière réunion une loi raciste contre les députés arabes afin de les empêcher d'effectuer toute visite aux pays arabes, notamment la Syrie et le liban.

Le projet préparé a été proposé pour la première fois par l'initiative du chef Zabulon Orliv, du parti extrémiste de droite qui est connu par sa position contre le Dr.

Azmi Becharah, l'ancien député palestinien du parti du rassemblement national.Cette loi raciste stipule que tout arabe qui visiterait un pays arabe ennemi sera licencié à jamais de son poste à la Knesset.

Pour sa part, le député arabe à la Knesset du Front Démocratique pour la Paix et la l'Egalité, Mohammed Barakat, a dit que ce projet est annexé à une série de règles racistes pour lesquelles les juifs devraient être condamnés.
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The Knesset passes a law against racist Arab MPs In Palestine Info The Knesset adopted at its last meeting a law against racist Arab MPs in order to prevent them from carrying out any visit to Arab countries, including Syria and lebanon.

The draft prepared was first proposed by the initiative of head Zebulun Orliv, right-wing extremist party which is known by its position against Dr. Azmi Becharah, former MP from the Palestinian national gathering.

This racist law stipulates that any Arab who visit an Arab enemy will be forever dismissed from his post in the Knesset.

For its part, the Arab member of Knesset of the Democratic Front for Peace and Equality, Mohammed Barakat, said that this project is annexed to a series of rules racist why Jews should be condemned.

mardi 29 avril 2008

Signataires campagne mondiale

حمله توقيع عالميه من اجل الافراج عن 11 الف اسيرفلسطييني من سجون الاحتلال الاسرائيلي شارك بتوقيعك حتي وان تم الافراج عن اسير واحد رقمي بالتوقيع 1161 و1662

Signataires campagne mondiale en faveur de la libération de prisonniers palestiniens des prisons israéliennes

Signatories global campaign for the release of Palestinian prisoners from Israeli jails

lundi 28 avril 2008

Nouvelles attaques des terroristes sionistes contre les Palestiniens




Sept martyrs dont une mère et ses quatre enfants lors d"un bombardement sioniste à Beit Hanoun




Les forces de l'occupation israéliennes ont perpétré, ce matin lundi 28/4, un nouveau massacre lorsqu'elles ont lancé plusieurs obus sur une maison d'un citoyen palestinien dans la ville de Beit Hanoun, au nord de la bande de Gaza, en tuant sept palestiniens dont une mère et ses quatre enfants alors que plusieurs autres ont été blessés.




Des témoins oculaires ont dit au correspondant du centre palestinien d'information que l'artillerie de l'armée de l'occupation sioniste a bombardé la maison de la famille d'Abou Moutiq, située près des tours d'Al-Awda dans la ville de Beit Hanoun, en la détruisant complètement sur les têtes de ses habitants.




Les sources médicales ont dit que les corps des six martyrs sont arrivés aux hôpitaux dont quatre enfants frères qui ont moins de six ans.Les citoyens palestiniens ont fait appel aux propriétaires des véhicules et voitures à se diriger vers le lieu du crime sioniste pour transporter les martyrs et les blessés aux hôpitaux après l'arrêt des ambulance à cause du manque de carburant qui a paralysé la vie dans la bande de Gaza.




Ce massacre sioniste vient au moment où les factions palestiniennes se dirigent au Caire pour discuter de la trêve coordonnée par l'Égypte entre les factions de la résistance palestinienne et l'occupation israélienne

dimanche 27 avril 2008

lundi 21 avril 2008

Non à la culture de l'assassinat d'enfants


Sous l'egard de l'Union des Blogueurs Arabe

Une campagne

Non

à la culture de
l'assassinat d'enfants


L'événement : Salon du livre internationale de Torino 2008

L'invitée d'honneur : Israël

La cause nationale : Salon du livre de Torino accueille l'entité israélienne invité d'honneur du salon, en depit de continuer dans l'assassinat d'enfants, des civils, la violation des lois, et des droits de l'homme a suivi la politique de punition collective.

Pourquoi cette campagne : Parce que le livre doit rester un symbole de la science, la connaissance , culture de la tolérance, la paix, la vie humaine, le colloque des civilisations, et le progrès de l'humaine .

L'acceptation d' Israël en tant qu'invitè d'honneur d'accueillir la célébration est d'encourager la diffusion del la culture de l'assassinat des enfants et la violation des droits de l'homme.

Votre boycott de salon est une victoire pour les larmes et la douleur des enfants qui ont été privés de la vie, de lait, de la
sécurité, de la famille et le bonheur .

Messieurs : les écrivains,les litterateurs, les penseurs, et les militants des droits de l'homme : C'est une honte dans
l'histoire de le livre, la culture, et l'humanitaire mondial à être entendues au salon du livre mondial est censé propager une culture de tolerance, de paix, de non-violence, de la lute contre la pauvreté et les guerres, et la consolidation des valeur democratiques et les droits d'homme .

Cette entite :

· Assassiner par ses chasseurs et ses missiles les enfants, les femmes, et les personnes âgées.

· Utiliser la politique de punition collective et le nouvel holocaste contre des personnes non armées.

· Imposer un blocus sur plus d'un million et demi million de personnes.

· Empêcher l'entrée les comestibles, les médicaments, et le pétrole à un million et demi d'humains

· Confisquer les terres et detruire les maisons des civils

Les résultats de cette politique :

· Près de 80% des citoyen de la bande de Gaza sous la seuil de pauvreté, 66,7 d'entre eux vivent dans l'extrême pauvreté

· Le nombre d'enfants qui ont etre martyrises feu des missiles et des chassurs depuis la fin de 2000 plus de 1000 enfants, plus de 50 enfants depuis le debaut de l'annee en 2008 sont perdus , par les statistiques de movement mondial pour la defense de l'enfant

· Le nombre d'enfants qui sont encore détenus dans les prisons israéliennes environ 344 enfants par le ministère de la statistique et des rédacteurs prisonniers palestiniens.

· La vie de 2000 enfants infectes par la maladie anemis entre 4-6 ans menaces de mort en raison du manqué de medicaments essentiels

· Dans les prisons de cette entité plus que 11700 prisonniers,dont des enfants, des femmes, vieillards, et les deputes élus

· Les nombre de malades qui ont e été martyrisés par le blocus d'aliments et de produits pharmaceutiques imposé a la bande de Gaza 133, et des centaines de malades menacés de mort par manqué de médicaments


· Une grave pénurie de vivres, de lait pour les enfants, la médecine, de l'electricité, et le pétrole.

· Une catastrophe humanitaire et écologique en raison de l'absence de sabotage et de systeme d'assainissement.

· Les maladies psychologie pour les enfants a cause de les scènes terrifiantes et la voix d'explosions.

· La contraction du processus éducatif, et le taux élevé d'analphétisme, et de priver les enfants des possibilités éducatives.

· Le taux de chômage de 45% en sus la grande pauvreté et l'augmentation du travail entre les enfants et les jeunes.




Par conséquent,

Le livre est symbole de la connaissance et de la lumière et nous devons garder de rejecter la culture de mort et de tuer les enfants.

Participer à le salon internationale pour le livre d'or en son honneur " l'assassinat des enfants ", on entend participer en acceptant et en encourageant l'effusion de sang et de la violation des droits de l'homme et des traités internationaux.





Notre conscience humaine et intellectuelle crier

Boycottez salon du livre internationale de Torino

Donc ne soyez pas votre participation encourager à la culture de la poursuite des crimes humanitaires, le génocide et les cris

laissez- nous crier d'unee seule voix humaine
.


Non

à la culture de
l'assassinat d'enfants


Salon du livre internationale de Torino 2008

dimanche 20 avril 2008

Palestine: L'occupation tue 29 Palestiniens dont dix enfants en une semaine seulement









Un rapport juridique a dit que les forces de l'occupation israéliennes ont tué, au cours de la semaine dernière, 29 citoyens palestiniens innocents dont dix enfants et un journaliste dans la bande de Gaza, alors que 81 autres dont 41 enfants ainsi qu'un journaliste et trois femmes ont été blessés.
Le centre palestinien des droits de l'homme a souligné dans son rapport hebdomadaire que 13 citoyens palestiniens dont 8 enfants et un journaliste ont été tués, alors que 32 autres ont été blessés dans la région de Jouhr Al-Dick, au milieu de la bande de Gaza, en plus de sept martyrs et de 27 blessés lors d'une incursion sioniste dans le camp d'Al-Boureij, au milieu de la Bande? Il y a aussi eu deux martyrs lors d'opérations d'assassinat, au nord de Gaza.
Le 11 avril 2008, les forces occupantes ont tué neuf citoyens palestiniens dont deux résistants des brigades d'Al-Qassam et deux enfants, alors que 27 autres ont été blessés dont trois dans un état grave par les tirs des forces occupantes qui ont envahi la région, rasé les terres agricoles et détruit plusieurs maisons. Les 14 et 15 avril, les forces occupantes ont effectué deux opérations d'assassinat, tuant six résistants palestiniens, au nord de la Bande.

Les ambulances vont s'arrêter ce samedi à Gaza après la fin du carburant

La direction générale des urgences dans la bande de Gaza a affirmé que toutes les ambulances vont complètement s'arrêter, ce samedi 19/4 à 6h00 du soir.
Le directeur des urgences au ministère de la santé, Dr. Mouawia Hassanine, a dit dans une déclaration de presse dont le Centre Palestinien d'Information a reçu une copie, que tous les propriétaires des stations ont affirmé qu'ils ne possèdent plus de de carburant. En conséquence, les ambulances vont s'arrêter ce samedi à 18h00.
Il a averti de la difficulté de la situation durant ces jours et il a dit que les agressions et les bombardements sionistes sont continuels et que des dizaines de blessés attendent de pouvoir se soigner à l'extérieur de la Bande. Le ministère de la santé a également annoncé, il y a deux jours, l'arrêt des opérations chirurgicales et la fermeture des chambres d'opérations dans tous les hôpitaux de la bande de Gaza, à cause du blocus sioniste.
Le ministère a appelé l'organisation internationale de la santé et les autres organisations de la santé et des droits de l'homme, ainsi que toutes les institutions de la communauté internationale, à intervenir immédiatement pour arrêter cette catastrophe humanitaire qui menace la vie des malades.

jeudi 10 avril 2008

La barbarie israélienne
















Les forces israéliennes ont exercé la violence barbare contre le peuple palestinien désarmé













La barbarie israélienne







Vous voyez dans ces images de la barbarie israélienne à l'égard des enfants en Palestine


mardi 8 avril 2008

la misericorde pour les prisonniers palestiniens

Un peu de miséricorde pour nos prisonniers
Prisonniers détenus depuis 15 ans et plus dans les geôles de l’occupation sioniste
7 décembre 2006
Par Abdel Nasir Awni Ferwana, ancien prisonnier et chercheur spécialiste de la question des prisonniers

www.palestinebehindbars.org

Au cours des derniers mois, on a beaucoup parlé de l’échange possible de prisonniers, entre les organisations de la résistance palestinienne et le gouvernement de l’occupation israélienne. Depuis le 25 juin, en effet, jour de l’illustre opératin « illusions dissipées » au cours de laquelle le soldat israélien Gilad Shalit a été capturé, nous suivons avec attention les nouvelles, oscillant entre un espoir démesuré de voir enfin la fin du calvaire de milliers de prisonniers palestiniens et arabes et entre l’abattement, la fatigue et même le désespoir, du fait des nouvelles reçues.
Notre espoir est justifié par plusieurs causes : l’histoire contemporaine de la révolution palestinienne a été le théâtre de nombreux échanges de prisonniers, opérations commencées par le FPLP le 23 juillet 1968, lorsqu’un groupe du Front, sous la direction de Layla Khalid, avait attaqué un avion d’El Al, transportant une centaine d’Israéliens, avant de se diriger vers Alger, où un échange entre les passagers et 37 prisonniers lourdement condamnés s’est déroulé.
Au cours des nombreux échanges menés entre les organisations de la résistance palestinienne et le gouvernement de l’occupation israélienne, des milliers de prisonniers arabes et palestiniens ont été libérés.
Néanmoins, l’opération d’échange « Galilée » menée le 20 mai 1985 entre le Front Populaire – Commandement Général et le gouvernement de l’occupation, la plus célèbre, fut celle qui a libéré le plus grand nombre de prisonniers, avec 1155 prisonniers appartenant à toutes les organisations et les régions géographiques. L’échange a inclus le militant internationaliste japonais Kozo Okamoto, des frères arabes, des militants des régions occupées en 1948, de la ville d’al-Quds ainsi que des camps de l’exil, de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. Tous les prisonniers libérés avaient le droit de choisir leur destination géographique après leur libération. De plus, la majorité des prisonniers libérés avaient été condamnés à de lourdes condamnations, entre la prison à perpétuité et des dizaines d’années en prison, à cause de leur participation à des opérations ayant occasionné des pertes humaines dans les rangs de l’ennemi.
Depuis la capture du soldat israélien Shalit, suscitant notre espoir, nous avons rêvé le renouvellement de l’opération « Galilée », mais le temps qui passe sans nous apporter du nouveau commence à nous lasser et à nous démoraliser. Et notre rêve d’une autre opération « Galilée » commence à s’envoler, pour plusieurs raisons : le rapport de forces favorable au gouvernement de l’occupation lui permet de s’entêter, de maintenir ses conditions injustes envers nos prisonniers, et la multiplicité des déclarations contradictoires de responsables palestiniens en sont les principales, auxquelles il faut ajouter les nouvelles contradictoires relayées par les médias.

Dans cette situation, nous devons au moins accorder un peu de miséricorde à nos prisonniers, et éviter de jouer avec leurs sentiments et ceux de leurs familles. Les déclarations devraient être unifiées, claires, véridiques, sans exagération ni surévaluation.
Il n’est pas important que l’échange se déroule, ni que le nombre de prisonniers soit une centaine, un millier ou plusieurs milliers, l’important est de briser ce « veto » israélien qui empêche la libération de prisonniers ayant résisté au cours d’opérations ayant occasionné des pertes israéliennes, avec tout le respect et la considération que nous devons aux prisonniers et détenus, qui sont au nombre actuel de 11.000, dont plus de 2000 citoyens et des dizaines de députés et ministres arrêtés, depuis la capture du soldat Shalit.
Depuis cette opération, l’administration carcérale de l’occupation mène une campagne de violence inouïe mais silencieuse, loin des médias, occupés par la situation régionale. Cette campagne vise tous les aspects de leur vie, leur humanité, leur dignité, leur quotidien. Les prisonniers sont privés de tout, des médicaments et des soins, des visites familiales, et même de leur vie en commun et de leur déplacement à l’intérieur des sections. De nombreux prisonniers ont été isolés, dans des cellules individuelles ou collectives.

C’est ce qui m’amène à lancer un appel à l’ensemble de notre peuple, à redoubler d’efforts et d’attention pour mettre en avant leur situation et leurs souffrances, en exigeant leur libération dans tous les médias et toutes les tribunes, locales, arabes et internationales. Et tous ceux qui demandent la libération du soldat israélien Shalit doivent savoir que des milliers de Palestiniens meurent lentement dans les prisons de l’occupation israélienne. Nous devons faire entendre leurs cris et montrer les images de leur calvaire.

Puisque nous parlons de l’échange, je ne puis taire ma préférence pour la libération prioritaire des anciens prisonniers, pour plusieurs raisons, la principale étant que j’ai personnellement vécu l’expérience, je suis un des fils de prisonniers dont le père a été libéré après avoir passé 15 ans en prison, dans le cadre d’une opération d’échange, en 1985, et je connais exactement la situation douloureuse des prisonniers et de leurs familles.

Aujourd’hui, l’occasion se présente à ceux qui détiennent Shalit, ceux qui ont courageusement agi pour faire libérer ceux que le processus politique et les organisations palestiniennes n’ont pu faire, pour mettre en avant les anciens prisonniers, détenus avant les accords d’Oslo (367 prisonniers) ou au moins tous ceux qui ont passé plus de 15 ans en prison, sans exception (181 prisonniers). Il faut empêcher le gouvernement de l’occupation d’exclure chacun de ces prisonniers sous le prétexte de sa nationalité, de son lieu de résidence, ou de l’accusation pour laquelle il a été arrêté ou l’organisation à laquelle il appartient. Il leur suffit d’avoir passé toutes ces années derrière les barreaux. Certains d’entre eux ont passé plus de leur moitié de leur vie en prison, certains y sont enfermés depuis plus d’un quart de siècle… Et j’ai grande confiance en ceux qui ont capturé le soldat, en ceux qui mènent les négociations, qui s’accrocheront à leurs conditions.

Comme les autres, je rêve au retour de ces prisonniers, dans leurs maisons et à leurs familles, où ils pourront vivre et rencontrer leurs proches, sans barreaux ni entraves, où ils pourront voir le soleil sans barreaux ni barbelés.

Plus de cinq mois sont passés, cinq mois aussi longs que les années, pour les prisonniers, qui attendent la victoire et la fin du calvaire de milliers de prisonniers, voire de dizaines de milliers de personnes, si l’on ajoute les familles et les proches.
Je crains, que Dieu nous en garde, que les espoirs et les promesses ne s’évanouissent.
Et même si cela était, les rêves vont demeurer, les prisonniers resteront la cause, ceux qui sont debout, résistants, derrière les barreaux, toujours fidèles et armés de l’espoir, vivants mais souhaitant le martyre pour la cause de Dieu.

Gaza a saigné à mort

Bande de Gaza meurent de l'embargo Égyptienne et siège israélien

Nous avons dépassé les 170 victimes du siège du citoyen palestinien dans la bande de Gaza en raison de la grave pénurie de vivres et de médicaments essentiels.

Gaza a saigné à mort
Où est la communauté humanitaire internationale, qui estime la population de Gaza sont en train de mourir un jour à plusieurs reprises de ne pas bouger.

Où est la conscience de la France, qui ne vivent pas pour mourir Lorsque les organisations humanitaires pour fournir une aide humanitaire à ces populations pauvres Lorsque les droits de l'homme de groupes en France et en Europe et sur le monde entier

J'ai des lettres de citoyens à Gaza s'engagea qu'ils ne savent pas ce qu'ils disent à leurs enfants ont faim à cause du très grand déficit dans l'alimentation .

Pourquoi jouent-ils pas et marcher comme les autres enfants du monde.

Pourquoi sont les jeunes enfants et les adolescents et les jeunes hommes et les femmes âgées sont mortes dans gaza?


Pour l'ensemble de ce qui se passe
J'espère que la conscience de déplacer l'Union pour aider la population de Gaza

N ° 1391 «Guantanamo d'Israël."

L'occupation israélienne et les années d'occupation de la Palestine et dans une tentative désespérée pour la répression de la résistance et de la volonté du peuple palestinien, a créé un grand nombre des prisons et camps de détention jusqu'à ce que leur nombre atteint près de 28 prisons, et le statut de détenus arrêtés , Et les conditions sont très dures vie digne de l'homme et l'exercice du sang dans les pires méthodes de torture et de négligence médicale délibérée et lente à mort et des attaques à coups de matraque et de balles, perquisitions nu, le harcèlement, l'agression sexuelle et ... Etc.

À une époque où nous demandons à la communauté internationale, avec tous les droits de l'homme et les institutions humanitaires à intervenir pour sauver la vie de milliers de nos prisonniers et des détenus, qui lui a exposé à la torture subie et les conditions inhumaines de vie conduit à la mort de centaines d'entre eux , Nous avons appris il ya quelques mois que l'occupation n'est pas seulement la prison, mais existant vivait une prison secrète a été découvert récemment commandé une prison secrète n ° 1391 Il ya peut-être d'autres prisons secrètes inexploré! Qui n'a pas vraiment la prison de Guantanamo Israël, dans la prison de Guantanamo analogie dirigées par les Etats-Unis et les placer dans l'une des zones occupées par Cuba d'un groupe spécial de Bmatkulai Qaida, les Taliban et les très dures conditions.

En effet, il existe des similitudes entre le camp de détention américain à Cuba, et le camp israélien, en particulier la question avec toutes les marques relatives à la partie juridique et judiciaire se situant entre les deux camps, notamment en étant Bdakhlhma mépris des principes de la démocratie, les conventions internationales et les plus Droits de l'homme fondamentaux.

Peut-être que le camp américain de Guantanamo en avance sur son homologue israélien en termes d'esthétique site au moins tapage médiatique qui a accompagné la notoriété et des photos prises depuis l'intérieur, alors que la partie israélienne est systématiquement Street Guantanamo centre du pays, et la barrière n'était à l'abri de la confidentialité Et de la confidentialité, et l'avocat dit Dan Baker, conseiller juridique de l'Association pour les droits civils en Israël a déclaré que la "détention de ce type soulève des craintes d'une double première concerne l'existence de détentions secrètes et des« disparitions »ou manquants, et d'autre part des craintes Abus de pouvoir, d'abus et de violence, de torture, de "Ces craintes sont sans fondement comme le montre et nous le verrons plus tard.

Comme l'explique l'avocat israélien Ea Tsemel dans un de ses articles "qu'il n'ya pas de différence entre lui et les prisons gérées par les dictateurs raciale de l'Afrique du Sud".

Oui prison «Guantanamo d'Israël" nom est différent des autres prisons israéliennes et un lieu inconnu et n'est pas défini sur des cartes et toutes les cartes ne contiennent aucune trace de ce camp, situé près de la ligne de juin 1967 de séparation entre la Cisjordanie et Israël, Un bâtiment construit de ciment dans le centre d'Israël, de médiateur "kibboutz" village coopératif de peuplement israéliennes à peine croit à la plus haute colline, car elle est entourée d'une zone boisée et les hauts murs et les tours de garde fournir militaires de surveillance et de contrôle de l'intensité des environs de la zone, et Le camp de venir passer Ahitta barrières de barbelés, et après avoir passé la première porte est fermée automatiquement après seulement alors ouvert la deuxième porte, et un grand secret et la confidentialité, et nous avons supprimé tous les contrôles sur l'emplacement de la prison de Les médias israéliens, et il y avait un très seventies d'une bannière près du camp indiquent que l'ancien bâtiment de ciment utilisé dans la circonscription d'affectation verbal de la police britannique, qui a été écrit sur le classement: «Police toujours dans le service», et puis Leaderboard disparu, ainsi que les leaders qui se sont développées plus tard, près de l'entrée, qui a écrit le nom du camp de 1391, enlevée il ya plusieurs années, ne se pose pas en termes de photos aériennes officielles supprimée comme c'est la pratique à d'autres installations militaires et Afficher l'état des champs et de collines formes portées d'ailleurs de mettre un masque toute trace d'un camp à des photos aériennes.

L'intérieur et à violer toutes les lois internationales et humanitaires et chartes terriblement ne connaît pas le nombre de détenus dans nul n'est autorisé à lui rendre visite et à toute personne entrant dans la prison de disparaître, sans doute pour toujours et devient absente, et la prison n'est pas le seul endroit où des détenus Sont connus en détention, et quand il a essayé de clarification détenus, les gardiens ont répondu à ce qu'ils soient placés en détention «Mars» ou «l'espace» ou «en dehors des frontières d'Israël", et ne pas être en mesure de savoir où ils se trouvaient détenus sont portés à Le camp de concentration et les yeux bandés au-dessus des lunettes noires, et dans l'éventualité d'entrer prison confisqué leurs besoins personnels, ont tendance à porter leurs vêtements au lieu chemise et pantalon bleu.

Au cours de l'Intifada d'Al-Aqsa mécanisme de transfert de nombreux détenus palestiniens ont mené l'enquête, et les familles des Palestiniens et des Libanais devant les plaintes avaient fait référence à la disparition de leurs fils et de la terre a été divisée et Abtalthm, comme Israël a refusé d'autoriser les représentants de la Croix-Rouge a visité, et même des membres de la Knesset israélienne ne s'est pas rendu n'a jamais permis de le faire! , Dit le député à la Knesset Lezhava Galaun (Meretz), qui n'a pas été autorisé à rendre visite à la prison, «Le fait qu'il existe des prisons comme celle-ci connaît le statut de fonctionnaire, est caractéristique des régimes dictatoriaux" et ajoute: "Pas concevable Que les détenus ignorent le lieu de détention, ainsi que pour les membres des familles des détenus et leurs avocats, violant ainsi l'armée israélienne a parrainé droits fondamentaux des détenus non sanctionnée ajoute "J'ai visité tous les lieux de détention pour enquête du Shin Bet n'ont pas visage Tout problème, quel est le problème sans tourner si ma visite dans cette prison? ».

Si Passant à une prescription de l'intérieur de petites cellules de raconter une fondée sur l'hypothèse bâton long et de l'autre séparés par d'épais murs de béton, les prisonniers ne pouvaient pas communiquer les uns avec les autres que par la gourde fermement sur les murs ou de crier à certains moyens de communication Entre eux à l'exclusion de tout contact humanitaire directement avec les avocats ou les visites des familles des détenus ou d'autres personnes ou même avec les gardiens et les gardes, et même le crier est interdite et punie par des prisonniers par des soldats de garde, en plus du manque de moyens visuels et Imprimer et à la radio.

Ces cellules sont très semblables et très mauvais, car il n'est pas un espace de plus d'un quart de mètre carré mètre, et de l'obscurité dans laquelle sévère que peint les murs peints en noir ou rouge, et les portes des cellules se composait d'une épaisseur de l'acier, et Il n'ya pas de fenêtre de la cellule de ventilation ou l'exception d'une petite ouverture à la porte n'est pas ouverte seulement de l'extérieur, et à l'intérieur de chaque cellule, il y Msdoba de béton armé murs adjacents à celui utilisé lit matelas et mettez-la (boire), des couvertures et d'horribles Les conditions en termes d'humidité et de matelas shallow fin de l'odorat les odeurs et à la privation de la lumière du soleil, et le mur en face du trou Msdoba là comme tuyau (pipe) l'eau est pompée à travers elle, et sous le contrôle de soldats de l'extérieur de la chambre, et il y en vertu de la Embouchure d'un trou dans le sol ou la salle d'eau est utilisé pour les cellules (toilettes) afin d'éliminer la nécessité, dans un certain nombre de cellules ad hoc semble également détenus sous enquête il n'ya pas de services ou facilités à tous, les détenus sont contraints de passer leurs besoins en Un grand seau en plastique, ce qui est rarement vide et se vidant de son contenu une fois tous les quelques jours, et aucun des outils et des produits de nettoyage, et le détenu est autorisé à douche seulement quelques jours, affirme une famille »a d'abord été la douche après le 11 La durée de cinq minutes.

" Les détenus ne peuvent faire la distinction entre le jour et la nuit parce que la lampe électrique dans chaque cellule est allumée 24 heures par jour et d'une faible lumière, et toutes les chambres en état d'arrestation pour un contrôle permanent par des caméras en circuit fermé fonctionnent, il faut noter que la majorité des détenus sont maintenus au secret Les yeux bandés et sont, aux yeux des détenus transférés de l'affaire à une chambre de cellules d'enquête ou de la soi-disant clinique de la prison.

Les détenus reçoivent des repas trois fois par jour et à souffrir de ces repas maigres quantité et en qualité, et vient lorsque des soldats - geôliers - nourriture sont baguage cellule porte, et puis le détenu, comme les procédures, le sac noir qui couvre la tête et se tourne pour le point Diplômé du mur les mains.

Permet non seulement pour les détenus qui ont terminé l'enquête, le congé une fois par jour sur une promenade (un peu) pour une heure dans la cour de l'Intérieur terre étroites sable enrobé.

Comme pour les méthodes de torture utilisées avec les détenus au cours de l'enquête sont les mêmes méthodes de torture utilisées dans d'autres prisons, comme l'utilisation de la violence contre eux à plusieurs reprises, comme roués de coups, coups de pied, de violentes secousses, forcé à s'asseoir sur une chaise Dans le stationnement commode ou douloureuses pendant de longues périodes, le harcèlement sexuel, le viol, comme cela s'est passé avec le prisonnier libanais Mustafa Dirani, dans le témoignage de l'un des détenus a dit (a été présenté par l'intelligence des hommes des photos de membres de sa famille et a menacé de mettre en danger, si Ne pas répondre par la, et ajoute: m'a amené des photos d'un père, d'habillement et de la prison a présenté un court-métrage montre Abi ont arrêté, a affirmé son incarcération et a été torturé) de telles pratiques et les pires d'entre eux qui se produisent quotidiennement et familier dans cette prison.

Des conditions très dures, de la torture brutale et le sentiment que vous n'avez pas oublié de lui trouver de vider vos soucis, et cultivez votre sens de la crainte constante de la mort et qui à tout moment peut tuer et de disparaître à jamais sans demander environ un! , Parce que personne ne sait que vous êtes déjà important, et il peut y avoir déjà détenus Palestiniens et les Libanais ont disparu à jamais, et il ya de nombreux détenus Israël nie la connaissance de leur sort ... Tous ces facteurs rendent la vie très sévère et rigoureux secret dans la prison de critiquer n ° 1391 «Guantanamo d'Israël."

samedi 5 avril 2008

Un autre massacre en Ramallah




Juste après midi, le vendredi, 4.1.2007, entré une force spéciale de l'armée israélienne en civil ( «informateurs») à la centrale de la ville de Ramallah, dans le cadre d'une campagne visant à arrêter des Palestiniens recherchés. À environ 15:00 heures, a pris le pouvoir du bâtiment où il s'est caché Wanted.


Quand spéciale a noté que l'un des voulaient, Printemps Hamed, ont fui les lieux, a organisé des cours de tir. Printemps Hamed a été blessé par des coups de feu, mais il a réussi à échapper à une action gravement blessés.


Uncovered infiltration résultat cessez-le-feu, mais cela a été convoqué vigueur comportait un certain nombre de jeeps des gardes-frontières, des bulldozers militaires et des hélicoptères militaires à la ville de débarrasser les soldats.


L'afflux de dizaines de manifestants palestiniens résidents de la région de l'immeuble où fortifiant infiltration Ils ont jeté des pierres et des cocktails Molotov sur les soldats et les soldats de l'armée israélienne et les gardes-frontières qui ont assisté à la force pour débarrasser soldats. Il a indiqué B'Tselem a signalé quelques tirs de tireurs palestiniens.


Au cours des événements, qui a duré environ deux heures, les bulldozers israéliens ont construit grâce à sauver bafoués et la destruction des biens des objections à la manière dont plusieurs, y compris des douzaines de voitures, les camions et les stands de vente. La guerre des hélicoptères de la couverture des opérations de sauvetage pendant les tirs de mitrailleuses. Les sources militaires a affirmé que les tirs de l'hélicoptère, a été consacré à "zones ouvertes", mais la vérité sur l'incident dans le coeur de la ville de Ramallah, une zone exempte de zones ouvertes, et la réalité des citoyens palestiniens exposition à l'infection par hélicoptère Le feu et tué au moins une personne suite Par conséquent, il est difficile de ne pas mettre en doute cette affirmation. Il a également blessé par les tirs des hélicoptères et les forces terrestres israéliennes citoyens commenté place n'avait pas de rôle dans les affrontements. Les journalistes et les équipes d'ambulance qui ils peuvent être à l'endroit où la fusillade: Homme ambulance hommes qui travaillaient dans le lieu de B'Tselem chercheur, ils ont dû composer avec les blessés et évacués, et des sifflements des balles voler au dessus de leur tête, et a tiré sur le journaliste Fadi Bonne Aruri, un objectif qui a été crucial.


la destruction par les forces israéliennes ont tué quatre Palestiniens.


Montre que la réalisation de l'extradition des quatre Palestiniens étaient armés quand ils ont abattu et trois d'entre elles n'avaient pas de rôle dans les troubles. Dead sont :


1- Khalil Beiruti, 36, le vendeur de thé et de café. A été tué par balle près du marché aux légumes bière;


2- Yusuf Adur, 24 généraux, le vendeur sur le marché. Tué hélicoptère feu;


3- Joilce Jamal, 29 ans, et un résident de Jérusalem-Est, a commenté en place au cours des affrontements ont éclaté. Blessé par balle alors qu'il tentait de transférer sa voiture de l'endroit où les bulldozers militaires ont progressé de façon;


4- Alaa Hamran, 16 ans. A reçu une balle dans la tête alors que dans le marché aux légumes. Il a succombé à ses blessures dans un hôpital de Ramallah. Alaa a participé aux troubles, mais il n'était pas armé. Blessés dans les accrochages moins une quarantaine de Palestiniens ont été évacués vers les hôpitaux, dont dix personnes grièvement blessées ou dans un état critique. Les Quatre soldats israéliens ont été légèrement blessés.


Montre que la réalisation de l'extradition de 22 Palestiniens ont été abattus par quartier, et deux autres ont été frappées avec des balles en caoutchouc.


Les autres étaient infectés avec les Palestiniens par l'inhalation de gaz, la chute ou bafoués alors qu'ils tentaient de s'échapper du site d'affrontements dans le centre-ville. Au moins six des blessés sont des Palestiniens de moins de 18 ans, alors que, il ya six autres dans la génération des 40 et plus. Cet incident a été précédé des incidents semblables. Dans l'histoire du 24.5.06 exemple, la force d'infiltration entrés dans le quartier de la ville de Ramallah, dans les heures après midi. La divulgation des combattants à cet événement et aussi les habitants de la zone atteinte.


Dans cet incident a également été arabisés débarrasser dans l'échange de tirs intensifs qui ont conduit à des dizaines de blessés. L'enquête menée par B'Tselem dans Hpinha que 84 personnes ont été blessés et emmenés à l'hôpital, dont 50 infectés par balles, 8 autres blessées par des balles en caoutchouc, 4 blessés par l'inhalation de gaz et trois personnes ont été blessées par les bombes voix. Pendant dix-neuf autres n'ont pas recevoir de l'information. Quatre des blessés sont morts après leurs blessures.

mercredi 2 avril 2008

Israël: fin biais systématique contre les Bédouins

Les 130 pages du rapport,? Off the Map: Terres et du logement en Israël, violations des droits de l? Villages bédouins non reconnus,?

Documents comment les lois discriminatoires et les pratiques israéliennes force des dizaines de milliers de Bédouins dans le sud d'Israël de vivre en? Méconnus? Bidonvilles où ils sont sous la menace constante de voir leurs maisons démolies et leurs communautés déchirées.

Human Rights Watch a fondé ses conclusions sur des entrevues menées dans 13 villages bédouins non reconnus et trois-gouvernement prévue townships Bédouins dans le Néguev.

Il a interrogé des dizaines de bédouins résidents, ainsi que des activistes, des organisations communautaires, des organisations non gouvernementales (ONG), des universitaires et des avocats en Israël.

Human Rights Watch a soumis une lettre détaillée au gouvernement en 2007 avec les résultats préliminaires et les questions, et incorporé les informations du Ministère de la Justice? Réponse dans le rapport. ?

Politiques israéliennes ont mis les Bédouins en perdrait,? A déclaré Joe Stork, directeur du Moyen-Orient à Human Rights Watch. ?

L'État les a forcés à quitter la terre qu'ils affirmaient être les leurs et illégales dans les bidonvilles, coupé des nécessités de base comme l'eau et l'électricité.?

Israël a démoli des milliers de maisons bédouines Néguev depuis les années 1970, et des centaines en 2007 seulement. Les autorités disent que 45000 maisons existantes Bédouins dans environ 39? Méconnus?

Villages ont été construites illégalement, et donc des cibles potentielles pour la démolition. Les responsables israéliens affirment qu'ils sont tout simplement faire respecter le zonage et les codes du bâtiment.

Mais Human Rights Watch a constaté que les fonctionnaires systématiquement démolir des maisons bédouines bien que souvent surplombant ou légaliser rétroactivement la construction illégale de citoyens juifs.

Alors que les bédouins souffrent cruellement besoin d'un logement convenable et pour les nouveaux (ou reconnues) communautés résidentielles, la situation est plutôt le développement de nouveaux foyers et des collectivités pour les citoyens juifs, même si quelques-uns des plus de 100 communautés juives existantes dans le Néguev s'asseoir à moitié vide . En théorie, tout citoyen peut demander à vivre dans ces communautés Néguev, mais dans la pratique, les comités de sélection et d'accepter les demandeurs d'écran des personnes en fonction de notions de indéfini? Aptitude? Qui excluent systématiquement les Bédouins. ? Israël est désireux et capables de construire de nouvelles villes Néguev Israéliens juifs pour la recherche d'un mode de vie rural, mais pas pour les gens qui y ont vécu et travaillé cette terre pendant des générations,? Stork dit. ? Cela est injuste.?

Insister pour que les responsables israéliens bédouins peuvent déménager à sept gouvernementaux existants ou planifiés townships une poignée de villages nouvellement reconnus. Human Rights Watch a constaté que le gouvernement a planifié les cantons constituent sept des huit communautés les plus pauvres en Israël et sont mal équipés pour faire face à tout afflux de résidents.

La plupart des bédouins rejeter l'idée de déménager dans les townships, avec leur déplorable des infrastructures, les taux élevés de criminalité, les rares possibilités d'emploi et de l'insuffisance des terres pour les moyens de subsistance traditionnels, tels que la garde des troupeaux et le pâturage. En outre, l'État exige de Bédouins qui se déplacent pour les cantons de renoncer à leur revendication de terres ancestrales? Impensable pour la plupart des bédouins qui ont des revendications à la terre se transmet de parent à l'enfant à travers les générations.

L'Etat contrôle 93 pour cent des terres en Israël, et d'un organisme gouvernemental, l'Administration foncière israélienne (ILA), gère et attribue cette terre. Aucune loi israélienne exige l'ILA pour assurer la répartition juste et équitable des terres. Près de la moitié de son conseil d'administration sont membres du Fonds national juif, qui a un mandat explicite pour développer l'utilisation des terres pour les Juifs seulement. Aujourd'hui, la communauté bédouine se compose de 25 pourcent de la population du nord du Néguev, mais des contrôles moins de 2 pour cent des terres.

Les autorités ont affecté de vastes étendues de terres et de fonds publics pour les exploitations agricoles familiales ou ranchs. L'état relie ces exploitations nationales grilles électriques et de l'eau malgré le fait que certains n'ont pas de permis et de la planification légalise rétroactivement eux plutôt que de les démolir. ?

L'hypocrisie dans la politique à l'égard de ces grandes exploitations individuelles n'est pas perdu sur le bédouin,? A déclaré Stork. ? L'état de l? Prétend que les villages bédouins sont trop dispersés pour recevoir état utilitaires don? T semblent question quand il s'agit de la ferme.?

En octobre 2007, le Ministère du logement a nommé une commission dirigée par l'ancien contrôleur d'État et a pris sa retraite de la Cour suprême Eliezer Goldberg, d'examiner le différend de propriété foncière entre l'Etat et la communauté bédouine du Néguev. Les huit membres de la Commission Goldberg, qui ne comporte aucun représentant des villages bédouins non reconnus, a commencé ses travaux en janvier 2008, proposant de publier ses conclusions et ses recommandations dans les six mois.

Human Rights Watch demande instamment à la Commission de fonder ses recommandations sur Israël? Avec les obligations internationales en matière de droits interdisant la discrimination et de garantir les droits à un logement adéquat et sûr, et la protection contre les expulsions forcées. ?

Une recommandation devrait être d'une commission spéciale qui peut mener une étude impartiale et complète du problème des villages non reconnus,?

Stork dit. En effet, l'État lui-même est responsable de cette discrimination et le déni systématique des droits fondamentaux, un organe d'enquête indépendant est nécessaire.?

De nombreux Bédouins dit à Human Rights Watch au sujet de l'impact dévastateur des démolitions d'habitations sur leurs familles. Les autorités ont souvent démoli des maisons sans avertissement, laissant souvent les familles avec rien de plus qu'un abri de la tente. Témoignages Sarah Kishkher d'Um Mitnan dit à Human Rights Watch ce que cela signifiait. ? Tout était si propre et soigné. Nous pourrions garder la maison organisé? Nous avons eu des armoires à plier les enfants? S vêtements et les garder en jeu. Nous pourraient baignent les enfants chaque fois que nous voulions.

Tout [dans la tente] est présent dans la poussière de sable. Nous pouvons? T garder les aliments pour le bébé dans un réfrigérateur. Nous avons tout perdu.? Certains Bédouins ont vu leurs maisons détruites plus d'une fois. Fatima al-Ghanami, un âgé de 60 ans veuve en Um Mitnan, souffre de diabète.

Fonctionnaires démoli sa maison, il ya plusieurs années.
Peu de temps après, elle reconstruite, elle a reçu un autre avertissement de l'ordre de démolition.

Quand j'ai obtenu la démolition pour que la vieille maison, j'étais sûr qu'ils ne pourront jamais venir. Maintenant, je sais mieux. Je sais qu'ils? Ll venez faire. ? Ils pourraient venir demain, ils peuvent venir à tout moment. S'ils démolir cet endroit, je n'ai nulle part où aller et pas d'argent à gauche. Je n'ai aucune idée de ce que je? Ferons.?

Contexte Certains villages bédouins antérieurs à la création de l'Etat d'Israël en 1948, tandis que d'autres, apparus après Israël déplacées de force les Bédouins de leurs terres ancestrales, dans les débuts de l'État. Israël a adopté des lois dans les années 1950 et 1960 permettant au gouvernement de prétendre à de vastes zones du Néguev, où les Bédouins avaient anciennement détenue ou utilisée de la terre. Les autorités de planification ignoré l'existence de villages bédouins quand ils ont créé Israël? Premier plan directeur à la fin des années 1960, en y intégrant de discrimination dans les politiques qui continuent aujourd'hui, quelque 40 ans plus tard.

Selon le comité des Nations Unies chargé d'interpréter le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, selon lesquels Israël a ratifié, en 1991, les gouvernements peuvent mener des expulsions forcées que dans? Les situations les plus exceptionnelles? Et conformément au droit international. Même dans des circonstances exceptionnelles, les principes des droits de l'homme exigent que le gouvernement doit consulter les personnes ou les communautés concernées, d'identifier clairement intérêt public exige l'expulsion, faire en sorte que les personnes touchées ont une possibilité réelle de contester l'expulsion, et de fournir une indemnisation appropriée et adéquate alternative La terre et au logement arrangements.

Dans presque tous les cas, Human Rights Watch a constaté que l'état a rencontré aucun de ces critères.

Dans les villages non reconnus d'Um al-Hieran et Atir, près de la forêt Yatir, l'état des poursuites et à évacuer les expulser environ 1500 habitants, en avril 2004. En septembre 2006, l'Etat a obtenu environ 40 ordres de démolition judiciaire contre presque toutes les maisons à Um al-Hieran et, en juin 2007, l'ILA démoli 25 de ces maisons. Um al-Hieran date de 1956, quand le gouvernement a déplacé les habitants de leurs terres dans le Neguev occidental, autour d'aujourd'hui? S kibboutz Shoval. Maintenant, le gouvernement veut la terre d'Um al-Hieran de construire une plus grande colonie juive, Hiran.

Le gouvernement n'a jamais informé Um al-Hieran? S les résidents de ses plans ou les invite à faire partie de la nouvelle communauté avant de tenter de les déplacer de force à nouveau. Après avoir distribué les responsables de la planification des avertissements ou des ordres de démolition sur toutes les maisons dans le village d'Al-Sira, en septembre 2006, les résidents du village approché les autorités, mais il n'y avait pas de trouver des alternatives envisagées pour la communauté. Resident Khalil al-Amour a dit à Human Rights Watch:? Ils disent toujours?

Peut-être?. Peut-être vous? Ll obtenir un quartier lorsque [la ville de] Rahat expansion; peut-être que vous pouvez aller à la [nouvellement planifiées] canton de Marit qui n'existe même pas encore. Nous sommes invisibles pour les gens, de façon peut-être nous pouvons vivre dans des maisons invisibles.? Toutes les maisons du village ont maintenant ordres de démolition.